Mission

NOUS CROYONS AU CHANGEMENT

Mission de la fondation PK

La fondation PK, s’est donc fixée comme mission d’aider à l’éradication des abus et la marginalisation à l’égard des enfants et femmes qui sont les couches les plus vulnérables afin de les sortir de l’isolement et ainsi les aider à s’autonomiser.

  • Plaider pour la protection physique des défenseurs des droits humains, des journalistes, des membres du clergé et de leurs familles.
  • Contribuer à l’amélioration  de la qualité de vie des personnes survivantes et victimes de  violation des droits fondamentaux.
  • Accompagner  les  veuves et orphelins des défenseurs des droits humains, des journalistes et des responsables  religieux dans leurs efforts d’intégration sociale, économique et culturelle.
  • Apporter un soutien direct aux défenseurs des droits humains, aux journalistes et responsables religieux y compris ceux qui sont en danger.
  • Contribuer  à briser l’isolement et l’exclusion sociale des personnes vulnérables, entre autres les femmes, les enfants et les jeunes désœuvrés des milieux ruraux.

ORIGINE DE LA FONDATION

La fondation a été créée en 2011 par les efforts de Mme Deborah Kitumaini, qui vient de Bukavu, RD-Congo et qui est veuve du feu Pascal Kabungulu (pour qui l’organisme est dédié) ce défenseur des droits humains assassinée à son domicile dans la nuit du 31 juillet 2005. Le feu Pascal Kabungulu était secrétaire exécutif au sein de l’organisme Héritiers de la Justice qui œuvre dans la défense des droits de la personne dans la partie Est de la République Démocratique du Congo.

Mme Deborah avec ses 6 enfants ont immigré au Québec, Canada en 2006. Ainsi, la famille et autres personnes amies soucieuses de la situation des droits de la personne en RD Congo ont voulu mettre les efforts ensemble afin d’apporter le soutien de diverses formes  aux familles victimes de la situation de conflit armé à l’est de ce pays, ainsi qu’hausser la voix pour dénoncer à l’échelle internationale ce qui se passe dans cette partie du monde. Mais surtout, plaider pour le cas de ces familles des défenseurs des droits humains oubliées ou laissées à elles-mêmes, une fois un des parents (défenseur de droit de la personne) est assassinée suite déjà a son travail.

Il n’y a pas de meilleur exercice pour le cœur que de tendre la main et de soulever les gens.